Que faire en cas de blessure ou de décès suite à un accident de chasse ?
113 accidents dont 13 mortels ont été recensés lors de la saison de chasse 2017-2018. Touchant souvent les chasseurs eux-mêmes, ils peuvent aussi parfois toucher
113 accidents dont 13 mortels ont été recensés lors de la saison de chasse 2017-2018. Touchant souvent les chasseurs eux-mêmes, ils peuvent aussi parfois toucher
Victime d’un accident ou d’une agression dans lequel vous avez été blessé, vous devez obtenir réparation. Dès que vous commencez à vous renseigner sur ce qu’il faut faire, on vous conseille très vite de vous adjoindre un avocat. Et l’on ajoute souvent aussitôt tout un tas de mots qui évoquent le combat juridique qui vous attend : “référé”, “procédure judiciaire”, “avocat à la cour”, “décision de justice”, etc. Ceci prouve une chose : dans l’inconscient collectif, une injustice n’arrive jamais seule.
Etes-vous victime par ricochet dans le cadre d’un préjudice corporel ? Vérifiez ici si vous pouvez être indemnisé(e) à ce titre.
Pretium doloris ? C’est quoi ce mot ? Normalement, vous n’auriez pas dû le rencontrer. Mais vous avez reçu un courrier utilisant ce vocabulaire étrange pour traiter de votre préjudice corporel. Cela semble compliqué. Cela sent l’entourloupe. C’est ce que vous vous dites ? En fait, il y a trois hypothèses possibles.
Votre assureur, quelque temps après l’accident de la route dont vous avez été victime, vient de vous adresser un courrier avec une proposition d’indemnisation.
Attention au piège ! Celui que vous vous tendez vous-même si vous ne comprenez pas la raison d’être de ce courrier. Si vous ne suivez pas bien les étapes du processus qui s’est engagé juste après votre accident, vous vous mettez tout(e) seul(e) dans la main de l’assurance. Et c’est là le vrai piège.
Si vous lisez ces lignes après avoir cherché sur internet ce qu’était ce mot barbare de “consolidation des dommages corporels”, il y a de fortes chances que vous l’ayez découvert dans un courrier d’assureur ou d’un organisme au style un peu froid. Non, ce terme juridique n’est pas fait pour vous démoraliser. Au contraire.
Quoique rarissimes, les accidents d’avion sont à l’origine de dégâts matériels et humains majeurs, de la blessure grave jusqu’au décès, comme lors de l’accident survenu sur Southwest Airlines en avril dernier où une passagère a été aspirée hors du hublot. Les victimes peuvent être les passagers, les membres d’équipages, des personnes blessées au sol mais également les proches. La question des responsabilités et des indemnisations en découlant est complexe car différentes règles s’appliquent en fonction du type d’avion utilisé et de la trajectoire du vol.
Pouvant survenir à la suite de n’importe quel accident (route, domestique…) ou agression, le traumatisme crânien peut avoir des conséquences très lourdes. Certains dommages sont très difficiles voire impossibles à déceler d’où la nécessité d’une expertise médicale pointue ainsi que d’un accompagnement par un avocat spécialisé.
Infographie sur les sept hypothèses d’accident corporel
La dernière étape du processus d’indemnisation d’un accident corporel, quel qu’il soit (faute médicale, accident de la circulation, accident de la vie, à l’exception des agressions qui relèvent uniquement de la CIVI), est la phase de l’indemnisation du préjudice, c’est-à-dire l’envoi d’une offre d’indemnisation du responsable ou de son assureur, lorsqu’une solution amiable est recherchée par l’une ou les deux parties.